Après un sinistre, l'assureur a pour obligation d'indemniser son client afin de couvrir tous les probables dommages survenus. Il est permis aux souscripteurs de contester l'offre de l'assureur si son montant n'est pas convenable. Recours à l’amiable ou recours juridique, voici des informations en cas de contestation envers votre assureur.
Quand faut-il contester la décision d'un assureur ?
Les événements pouvant pousser tout contractant à contester la décision d'un assureur sont pléthore. Nous pouvons compter notamment la contestation de l'estimation de même que le refus d'indemnisation de l'assureur. Vous pouvez également contester une décision émanant de votre assureur s'il décide d'augmenter votre cotisation. Vous en sauriez plus sur la somme de la cotisation en question en cliquant ici. Pour contester une décision dérivant de votre assureur, vous n'avez qu'un délai de 2 ans à partir du jour où le constat a été fait afin de mieux discuter du constat fait avec lui. Il est carrément impossible de contester ladite décision après cette date. Dans le cas d'un événement impromptu causant des dégâts corporels, le délai maximum est estimé à 10 ans. Toutefois, les délais sont similaires si les recours sont à l'amiable ou juridique.
Quels sont les divers recours ?
Les méthodes de recours sont au nombre de deux. Il s'agit respectivement du recours à l’amiable et du recours en justice. La toute première étape de la démarche de contestation de dédommagement est de procéder à une négociation par voie de douceur et de conciliation avec l'assureur. Il faut pour ce faire lui envoyer une lettre dans laquelle il faut mentionner que vous êtes sur le point d'user de votre droit d'assuré pour contester l'une de ces décisions. Dans le cas du recours en justice, si la compagnie d'assurance s'oppose tout d'abord à la contestation, vous pouvez intenter une action en justice. Cela est également possible si les termes des négociations ne sont pas conformes à ce que vous recherchez.